Tous coupables !
Un décès de trop. La mort annoncée depuis dimanche de l’artiste Love Affo est une nouvelle révoltante. Une perte trop lourde pour le pays. Un départ pour l’au-delà qui aurait pu être évité. Trop d’artistes meurent gratuitement au Bénin. Or, l’artiste n’est normalement pas une personne ordinaire. C’est un Ambassadeur de la culture. Un messager pour le pays. Ce qui veut dire que si un artiste tombe malade, cela ne saurait passer inaperçu. Les associations d’artistes doivent être au courant de cela et lui porter leur assistance. Les syndicats corporatistes doivent en être informés et courir à son chevet.
Plus important, le ministre en charge de la culture doit être au parfum de cela. Mais curieusement, dans ce pays, le ministre en charge de la culture a souvent été le dernier à avoir les informations relatives à la vie des artistes. C’est à croire que les individus qui se succèdent à la tête de ce département ministériel n’ont aucune connaissance du contenu de leur mission. Ils préfèrent s’occuper de politique, de choses inutiles, de comment amener les cadres du ministère à devenir des bénis oui oui.
Normalement, un ministre de la culture doit disposer d’un répertoire des artistes du pays. Il doit s’informer au jour le jour de l’évolution de chacun surtout des artistes confirmés. Autant ceux qui sont implantés sur le territoire national comme ceux qui évoluent à l’étranger. Ce qui n’est toujours pas le cas. Le ministre ignore royalement tout des artistes. Il préfère généralement se faire entourer de pseudo-artistes qui sont de véritables arnaqueurs. Ceux-là qui menacent de chanter contre le ministre, le chef de l’Etat ou son gouvernement. Alors, ils sont choyés, chouchoutés, brandis comme les seuls et vrais artistes. Pourtant, ils n’existent que par leur ventre.
Mais Love Affo ne faisait pas partie de cette classe d’artistes Quoi qu’on dise, elle était une valeur. Le simple fait que sa musique cartonne ici et au-delà des frontières nationales lui conférait le titre d’artiste béninoise internationale. Du coup, sa maladie ne devrait pas passer inaperçue. Mieux, elle devrait bénéficier assez tôt de soins particuliers pour être tirée d’affaire. Ce décès de plus aurait pu être évité.
Fortuné Sossa de la Nouvelle Tribune.
Les Ivoiriens, fans de l’artiste Affo Love, de même que ses compatriotes, au Bénin, ont été sous le choc à l’annonce dimanche -1er février- du décès à Cotonou de la conceptrice de la danse de l’araignée : «Yèyè dingbo » du nom également de son troisième album (2006) après, en 2003, Miwa Douwé et « Infidélité » en 2005.
La jeune Affo, a présenté des symptômes de l’hépatite, nous a appris hier à Cotonou un confrère, Kokouvi EKLOU, journaliste communicateur. « Ventre ballonné, vomissements de sang, anémie », sont les symptômes, avant son décès, que présentait l’artiste. Elle qui avait depuis novembre 2008 regagné sa famille biologique pour mieux se traiter et évacuer « une fatigue - soutenait-elle - accumulée de ses concerts et spectacles ». Admise au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutoucou Maga à Cotonou, Affo Love va manquer, dans la matinée du dimanche 1er février, de sang. Son cas va très vite s’aggraver, informe notre informateur, car « il y avait une pénurie à la banque de sang. Elle en est morte ». Ce qui pose ici le problème des hôpitaux, en Afrique, où l’on n’y entre pas toujours pour bien se porter, quand on y est admis, du fait du manque criard des besoins ou médicaments de première nécessité. De la version du médecin de garde, le dimanche, il ressort que Affo admise, depuis des mois, au CNHU a été, pour faire face à la situation, mise sous oxygène dans l’attente et l’espoir vain de lui trouver et administrer du sang. La douleur sera plus qu’insoutenable au moment d’enlever le corps, fait-on savoir. Originaire d’Aglogbé Adjarra, non loin de Porto Novo au Bénin, Affo Love ou son vrai nom Affo Lonifo Komanho Yvette, est le huitième enfant d’une famille de neuf. Elle n’aura pas une grande peine à s’orienter, depuis son bas âge, d’abord dans la danse ensuite dans la musique car sa mère, une infirmière de formation, avait pour distraction le piano, et faisait aussi du théâtre. Son décès prolonge le deuil dans le monde de la culture au Bénin. Il y a peu décédait l’animateur et comédien «Gbomagni Avo ko» et l’artiste Dah Badou. Sur la question, le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire, Gadji Céli, parle – s’appuyant sur le contexte ivoirien – de la précarité de vie des artistes qui sont, entre autres, sans assurance maladie et les problèmes dans leur monde. Néanmoins, aussi naturel que cela puisse paraître, les artistes sont vulnérables, dit-il, prenant l’exemple de la Mama Myriam Makeba. Pour faire face à ces difficultés, il conseille l’entraide et la solidarité et non la division en leur sein pour juguler les problèmes. De la mort de Affo Love, il dira que « la Côte d’Ivoire a perdu un artiste » tout en ne faisant pas de débat sur la nationalité du défunt. Présentant les condoléances à la famille de l’artiste au Bénin, il a dit, au nom des artistes, être « affligé, touché, affecté par une ènième perte ». Des dispositions seront prises après concertation, informe-t-il, avec le staff managérial de Affo Love et « Freddy Assogba qui était proche de l’artiste » pour conduire une délégation au Bénin, pour les obsèques. Joint hier au téléphone, l’arrangeur Freddy a dit attendre les décisions de la famille du défunt - qui n’a pas encore fixé de date pour les obsèques - avant d’entamer quoi que ce soit.
Koné Saydoo
L'intelligent d'Abidjan .
Rock Gnassingbé a pour sa part exprimé sa gratitude au gouvernement qui a pris l'engagement de mettre de l'ordre dans la famille du football au Togo ; il a également rendu hommage à son prédécesseur.
"Je voudrais te faire part de toute ma sympathie, mon amitié et mon admiration pour la bravoure avec laquelle tu as dirigé la Fédération durant les deux ans" a souligné le nouveau président.
Christophe Tchaou a invité tous les acteurs du football à s'unir derrière la nouvelle équipe pour redorer le blason du ballon rond.
Source : republicoftogo.com
D’après nos informations obtenues de sources sûres, il avait sauté du haut d’une maison à étage il y a quelques jours, dans le but de se donner la mort. Il fut évacué dans un premier temps sur Lomé pour y recevoir des soins. Mais face à la gravité de son cas, il sera évacué d’urgence en France où il vient de passer de vie à trépas.
Rappelons que c’est depuis le début des années 2000 que la famille Gnassingbé connut un passage à vide qui avait dû donner de la sueur froide au sérail et en première ligne, au Gal Eyadèma, une occasion de commencer à se demander, si c’est le ciel qui s’écroulait sur eux. En effet, en 2003 le Gal Eyadèma très malade, fut évacué pour un séjour médical en Italie. A l’époque ce fut top secret. Le Président de la République ne pouvait pas tomber malade. Et la contradiction fut apportée à l’époque par Pitang Tchalla qui balaya presque du revers de la main l’information rapportée par certains journaux à l’époque selon laquelle, il était gravement malade et se faisait soigner dans un hôpital italien.
Presque à la même période c’est le tour de son fils Ernest, Colonel de son état, d’être évacué d’urgence à l’Hôpital du Val-de-Grâce en France. Il y séjournera pendant plusieurs semaines. Malgré ce relativement long séjour, il n’y eut pas grand mieux. Déjà, les rumeurs les plus folles avaient circulé à l’époque le donnant pour mort en France. Ses ennemis guettaient l’occasion. Il n’en sera rien. Il y eut cependant une légère amélioration de son état de santé. Rapatrié au Togo, il séjourne depuis à Kara, son fief où plusieurs Togolais honnêtes et sans histoire ont été victimes de ses comportements irrévérencieux.
Etant donné qu’il n’avait pas du tout bonne presse dans tout le pays, y compris même à Kara, son fief et parmi les éléments de l’armée, certains le disaient victime d’envoûtement de la part d’un vieux chef canton du nord-Togo qu’il aurait à l’époque personnellement battu à mort après la présidentielle de 2003 et bien d’autres histoires les plus invraisemblables. D’autres ont prétendu que son mal venait de sa propre famille.
Pendant que feu Gal Eyadèma séjournait dans un lit d’hôpital italien et que son fils aîné ne savait plus quel sort lui était réservé, une autre fille du Gal Eyadèma faisait un accident rocambolesque de la circulation à Lomé au petit matin, accident dans lequel il y eut au moins un mort. Que de spéculations à l’époque! Pendant au moins deux mois, cette fille était donnée pour morte. Jusqu’à ce que l’opinion nationale se rendit à l’évidence d’elle-même, qu’elle avait survécu à ce drame survenu justement à l’endroit où vient d’être érigé un nouveau bureau de la BTD au niveau de la station CAP à quelques encablures du Collège Protestant de Lomé.
Pour l’heure, on ignore si le corps de l’ancien commandant du Camp Landja situé à 500 km au Nord de Lomé est rapatrié ou s’il est toujours en France.
Moralité: les Togolais doivent apprendre à s’aimer. Les responsables politiques ont intérêt à rechercher l’union et l’amour entre tous les fils de ce pays, quel que soit le parti politique auquel ils appartiennent et quelles que soient les régions d’origine et les provenances ethniques. Trop de mal a été fait arbitrairement et volontairement entre frères et sœurs par des gens qui considèrent qu’ils ont le pouvoir, l’argent et les armes de leur côté et que la souffrance, la douleur de la maladie et la mort n’étaient guère pour eux une préoccupation.
Etaient-ils immunisés contre elles pour les ignorer aussi royalement? Il est temps de mettre un terme à cette conception de la vie, afin que ces comportements d’un autre âge disparaissent de la terre de nos aïeux. Ernest Gnassingbé, «le gouverneur de la partie septentrionale» qui faisait la pluie et le beau temps au Togo avait beaucoup d’ennemis parmi lesquels de nombreux chauffeurs et propriétaires de voitures dont le seul crime aura été d’avoir le culot de le dépasser sur les routes du Togo à bord de sa Jeep de commandement ou à bord de tout autre véhicule banalisé. Ceci étant dit, nous faisons un clin d’œil à cet ami médecin Losso qui se rendait à des funérailles à Siou, mais qui n’avait pas pu assister auxdites funérailles et aura passé toute sa journée au camp Landja. Il fut même oublié par le maître de céans qui l’y avait interné.
En tout cas, que la terre lui soit légère!
Source : www.etiame.com
aure veut régler le problème de la dette intérieure
Pour sa part, Faure Gnassingbé s’est félicité de la contribution des milieux d’affaires dans le redressement de l’économie nationale.
« L’Etat, ne peut pas tout faire ; en revanche, l’Etat peut créer un environnement favorable au développement et à la réussite des affaires, mais c’est à vous les opérateurs privés qu’il revient de compléter les efforts du gouvernement pour créer de la richesse et de la croissance. (…) Nous devons travailler ensemble » a expliqué le chef de l’Etat.
« Nous devons faire face à l’impatience de plus en plus grande des Togolais pour aller vers une création de richesse qui permette d’élever le niveau de vie de nos concitoyens» a encore souligné le chef de l’Etat qui a promis de renforcer le dialogue entre le secteur privé et le gouvernement.
Il a par ailleurs indiqué que le gouvernement travaillait pour trouver une solution durable à la question de la dette intérieure qui paralyse l’activité économique de certaines sociétés.
« Nous avons déjà élaboré un document qui définit notre stratégie d’apurement de la dette intérieure ; les choses ne vont peut-être pas aussi vite que souhaité, mais je pense que c’est un début de solution et nous sommes preneurs de toute proposition qui pourrait contribuer à accélérer ce processus d’apurement » a conclu le PR.
Source : www.republicoftogo.com
BR Gaming Africa SA, la société initiatrice du jeu, en collaboration avec l'Association africaine des loteries d'Etat (AALE), va également soutenir les loteries nationales, a-t-il indiqué.
Le premier tirage d'Africamillions est prévu d'ici la fin avril, avec une dizaine de pays membres de l'AALE. On ignore pour le moment si la Lonato du Togo sera partenaire du projet.
Basile Boli, joueur d'origine ivoirienne, fit notamment les beaux jours de l'Olympique de Marseille.
L'ancien président Rock Gnassingbé, le président sortant Tata Avlessi et Winny Dogbatsè, président du club de football Gomido de Kpalimé sont retenus pour cette élection qui se déroulera suivant un scrutin de liste.
La candidature du premier vice-président Ameyi Gabriel, souvent présenté par la presse comme un homme à controverse, a été écartée après étude de la Commission électorale mise en place qui rejette tout nouveau ajustement des listes.
"J'ai décidé de venir en aide à ce football parce qu'on ne peut pas rester les bras croisés face à la situation dans laquelle se trouve notre football", a dit Rock Gnassingbé pour justifier son retour à la FTF.
Il a été remplacé par Tata Avlessi, à l'issue d'une élection surveillée par la Fédération internationale de football association (FIFA) et de la Confédération africaine de football (CAF).
"On était 36e sur le plan mondial et maintenant 91e", a déploré Rock Gnassingbé.
"Je ne sais pas de quoi demain sera fait, donc il était nécessaire de faire quelque chose pour aider ce football", a-t-il expliqué.
Le congrès extraordinaire a été décidé au terme d'une séance de travail de la Fédération internationale de football association (FIFA) avec une délégation dépêchée par le gouvernement togolais à Zurich en Suisse.
Il est attendu pour mettre fin à une crise au sein du bureau exécutif, que le président Tata Avlessi a qualifiée de "personne et d'insubordination", qui paralysait le fonctionnement de la FTF.
Seulement voilà ! Avant même l’ouverture du scrutin prévu le 18 janvier prochain, une mini crise est déjà ouverte : en cause le délai de dépôt de candidature.
Selon nos informations, le Code électoral mis en place par la FIFA posait la date du 1er décembre 2008 comme date limite de dépôt de candidature, sans préciser d’heure. Un communiqué publié le 24 novembre dernier par l’actuel secrétaire général de la fédération, monsieur Espoir Assogbavi qui était chargé avec l’accord de la fédération et de Jacques Anouma, président de la Commission Electorale indépendante de recevoir et d’enregistrer les dossiers de candidature, donnait jusqu’à 17h30 mns, heure de la fermeture de ses bureaux, aux candidats pour déposer leur liste.
Seul Tata Avlessi avait respecté l’heure limite. Les trois autres candidats sont allés déposer leur liste auprès du ministère de l’administration territoriale aux alentours de 22H30, arguant du fait que le délai du 1er décembre arrivait à échéance à minuit. Ce que contestent les proches de monsieur Avléssi qui affirment que ces trois candidatures sont arrivées hors délai et qu’au surplus, c’est le secrétariat de la fédération qui avait compétence pour enregistrer les candidatures et non le ministère de l’administration. Ils ont donc saisi la FIFA pour dénoncer ce qu’ils qualifient de « violations des textes. »
En tout état de cause, il appartient à la Commission Electorale Indépendante, de publier les listes retenues selon le code électoral défini par la FIFA.
Mais il semble qu’on s’achemine déjà vers une crise ; ce qui n’a rien de surprenant puisque ce sont exactement ceux qui ont participé peu ou prou au désordre actuel, qui briguent de nouveau la tête de la FTF. Avec sans doute les mêmes résultats.
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La Primature n’a jamais été un ring de boxe
Lundi, les deux protagonistes ont tenu à mettre les points -et non les poings- sur les « i » en tenant une mini-conférence de presse.
« Non, il n’y a jamais eu d’échanges de coups entre nous. Tout ceci est de l’affabulation », a affirmé Pascal Bodjona qui a reconnu avoir discuté en termes assez vifs, mais poliment et respectueusement, dans le bureau du PM sur des dossiers gouvernementaux.
Les deux ministres ont apporté un démenti ferme aux informations publiées par Jeune Afrique et reprises par certains titres de la presse privée au Togo.
MM. Bodjona et Kantchati ont démandé aux médias de vérifier à l’avenir leurs informations avant de les publier.
Il a également évoqué les difficultés que rencontre aujourd'hui la zone franche, notamment la question du niveau des salaires et le mauvais état du réseau routier, un véritable handicap pour l’activité économique.
M. Gnininvi a annoncé qu'un comité interministériel se réunirait dans les prochains jours pour se pencher sur les textes qui régissent le régime de la zone franche.
"Nous devons réformer notre zone franche si nous voulons en faire un outil de développement performant" a-t-il conclu.
Rappelons que le Togo a déjà adopté la loi anti-blanchiment et mettra bientôt en place une cellule nationale de traitement des informations financières. Les banques sont d’ores et déjà invitées à transmettre aux autorités tout mouvement de fonds suspect.
Cet arsenal juridique va permettre de poursuivre, juger et condamner toute personne coupable de délinquance financière, indique-t-on au ministère de la Justice.
La lutte contre la corruption constitue l’une des priorités de Faure Gnassingbé depuis son arrivée au pouvoir en avril 2005. Il est plusieurs fois montré au créneau pour dénoncer le fléau.
La Journée internationale de lutte contre la corruption a été instituée en octobre 2003 par l’Assemblée générale des Nations Unies.
Librairie STAR : 593 Rue Sylvanus Olympio LOME-TOGO. Cel:
Ernest n'est plus....du pipo!
Je vous jure sur la tête de mes innocences que tant que je n'ai pas vu ce cercueil avec le corp de celui qu'on a fait passé pour mort chaque année, je ne couerai pas mon bec et je persisterai et je signerai que Ernest est plus que vivant....Tout compte fait la mort ou la vie ce ce colonel tristement célèbre nous apporte quoi? Mais c'est du pipo cette nouvelle.
Kpakpatoooooo.net